
Où va ce diable de Jim Walmsley, part 3.
Par la rédaction. Avec Sébastien Chaigneau. Photos : Hoka, Unsplash
Nous avons parlé à Sébastien pendant ses reconnaissances du nouvel UTMB Nice qui aura lieu le 23 septembre prochain (infos : https://nice.utmb.world/). Il travaillait sur le plan de tournage du live de la course que réalisera Mouss Production, une agence de production audiovisuelle spécialisée dans l’univers du sport nature dont sa femme Isabelle est la gérante. On parle donc un peu de l’UTMB en tant qu’événement, de son travail sur les étapes de l’UTMB World Series, mais le gros sujet c’est bien sûr ce coquin de Jim Walmsley.
Dans cette interview Sébastien nous parle de son COVID. Depuis janvier 2020, l’ancien champion n’est pas au top. Comme quoi le COVID n’a pas touché que les gens malades ou fragiles. Voilà pourquoi son objectif « UTMB 50 24 », faire l’UTMB à 50 ans en moins de 24h, est tristement tombé à l’eau. On aperçoit aussi un autre champion français des années 2000, Guillaume LeNormand. On les avait rencontré l’un et l’autre sur le Libyan Challenge en 2007.
Bien sûr le gros morceau de l’interview c’est quand nous évoquons le cas du coureur Américain que tout le monde attend sur l’UTMB cette année : Jim Walmsley. Ça démarre à 12 minutes. Et en gros ça dit quoi ? Ah bien ça dit que le Jim il ne peut pas gagner l’UTMB cette année. Pas avec sa condition physique et son look de Kenyan. Pas avec Kilian Jornet au départ. Bref, c’est mal engagé. Voici pourquoi.
Nos deux précédents sujets sur le phénomène Jim Walmsley étaient là :
https://leblog.enduranceshop.com/ou-va-ce-diable-de-jim-walmsley-partie-2/
https://leblog.enduranceshop.com/ou-va-ce-diable-de-jim-walmsley-partie-1/
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