Sélectionner une page

Gaël Couturier

Gaël Couturier

Rédacteur en chef

Gaël, 49 ans, est journaliste sportif depuis 20 ans. Parisien d’origine, il a toutefois grandi au Mexique. Après avoir passé 3 ans en Inde où il a dirigé la rédaction d’un magazine de sports extrêmes à Delhi – The Outdoor Journal – et organisé un 100 miles dans le désert à la frontière pakistanaise, Gaël a aussi vécu 4 ans en Italie, à Venise. Depuis 2019, Gaël est notre correspondant permanent aux États-Unis. Il vit en Californie, surfe, s’occupe de ses chiens et puis il court, bien sûr. Gaël est aussi chroniqueur à Ultra Running Magazine, une référence américaine des magazines de course à pied. Il est finisher de 4 UTMB, 2 CCC, 8 Marathons Des Sables, 9 Marathons de New York, 6 marathons de Paris, 17 triathlons distance Ironman (dont 2 Embrunman) ainsi qu’1 Grand Raid de la Réunion, 1 marathon à Bagdad en Irak en « embed » avec l’US Army pendant la seconde guerre du golfe (article dans l’Équipe Mag), 4 Hong-Kong 100 (2 virtuelles) et de nombreux Ironman 70.3 (Sri Lanka, Vietnam, Malaisie…). Côté expérience professionnelle, Gaël a longtemps travaillé pour M6 puis l’Équipe Magazine où il avait là encore sa propre rubrique, mais il a aussi dirigé pendant 5 ans la rédaction de Runner’s World France, à son lancement. Gaël est par ailleurs titulaire de 3 masters universitaires français (Cinéma & Télévision de Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Marketing du sport de Paris XI Orsay et Management des médias de Sciences Po Paris). À son programme pour 2023, il y a les marathons de Los Angeles et de San Diego, un ou deux Ironman 70.3 et puis un 9ᵉ MDS au Maroc. Un 100 km ou un 100 miles ? Peut-être. “Qui ose gagne” et “Ce qui ne tue pas rend plus fort” sont ses crédos.

Stéphane Decressac

Stéphane Decressac

Alias « mon Steph », alias « chocolatine », alias « commando », alias « j’explose tout le monde à vélo ». Notre homme (43 ans) a tout de suite commencé le sport par l’athlétisme, spécialité : lancer de javelot. Il avait même atteind un niveau national et terminé 8ème des jeux de l’avenir. Si si. 15 ans plus tard, il s’est s’orienté vers les sports d’endurance. Dans sa vie de tous les jours, il a tout fait, tout voulu, tout testé, tout incarné : professeur de sport à l’éducation nationale, éducateur spécialisé, gendarme et pour finir officier de police nationale et municipale. Il s’est aujourd’hui lui aussi expatrié (décidément !) en Pologne à Varsovie d’où il poursuit sa carrière de journaliste sportif free lance, s’adapte tant bien que mal au froid (avec de la vodka nous souffle-t-il) et continue sur sa lancée d’un bon niveau amateur en triathlon : 15 qualifications pour les mondiaux d’Ironman 70.3, trois qualif’ pour les mondiaux Xterra. « La passion qui m’anime c’est la diversité des rencontres et des échanges faits durant mes déplacements » nous répète sans cesse celui qui a rencontré sa femme dans un avion à 34 000 pieds pour aller faire un triathlon en Turquie ! Toujours partant pour de nouveaux défis, « mon Steph » s’oriente ses temps-ci vers l’ultra trail et rêve de voyages à gogo « pourvu que ça brûle les cuisses à mort ». Il est dans la bonne rédaction lui c’est sûr.

François-Xavier Gaudas

François-Xavier Gaudas

Ceinture noire de judo (on s’en fout), FX (33 ans) a l’aptonyme ultime pour notre sport. Gaudas. Fallait l’inventer. Journaliste spécialisé running depuis 2011, mémoire vivante de notre équipe, ce grand amateur d’Histoire se rêvait videur au Hellfest. Il sera journaliste, et quatre fois finisher des 100 km de Millau, sa course fêtiche. L’ancien membre actif de l’Adidas Runners league de Paris République, est expatrié en Écosse depuis quelques années. Il ne porte d’ailleurs plus que des kilts, surtout quand il court (avec du whisky dans son backpack « Lagavulin 16 ans. Du petit lait » nous souffle-t-il). Guide touristique et professeur d’anglais dans la vraie vie, il fait découvrir les plus beaux endroits de son pays d’adoption à d’autres masochistes, façon UTMB : avec tout le matériel obligatoire.  Notre Fifix, tel le petit chiot très (très) joueur de la BD de Goscinny et Uderzo, est toujours partant pour une course de fou, une potion magique, un combat de gladiateur dans la boue, un défi de débile mental (un ultra quoi) ou un test de matériel poussé. Genre super geek. Ses objectifs de 2021-22 sont ambitieux : ré-enfiler un dossard aux 100 km de Millau après 2 ans sans ultra – merci COVID – et glaner suffisamment de points UTMB pour aller prendre sa revanche sur la CCC qui avait eu raison de ses fesses en 2017 (abandon de petit joueur au 80ème km, sur une hypothermie dans sa tête – la honte). Tel le Capitaine Flamme de Jean-Jacques Debout, c’est notre étoile filante, parfois rapide, parfois pas rapide. Ça dépend. Non tu n’es pas de notre galaxie Fifix (ni du fond de la nuit hein, faut pas s’emballer). Tu n’es pas légionnaire non plus mais tu es plein de tatouages (qu’on a jamais très bien compris pourquoi). Sur ton bras droit, trois mots : « courir ou mourir ». Et non pas « personne » ni « raisonne ». Kilian s’en retournera dans sa tombe. Paris tenus.

Anthony La Salandra

Anthony La Salandra

Dopé à l’endorphine depuis tout petit, cet italien de 34 ans à la chevelure de dieu grec sur le retour, ambassadeur Polar, sautille tout le temps. Littéralement. Finisher de deux Abbott World Marathon Majors, Boston en 2h57’08 » et Berlin en 2h59’33 » (et bientôt Londres 2019), il possède un physique de crapule : 1m89 pour 75kg tout mouillé. En plus de sa passion du running (il s’est quand même déplacé au JO de Londres de 2012 juste pour voir le marathon !) ce qui le caractérise surtout c’est son grand cœur. Car Anthony s’engage presque toujours pour une association caritative, contre la maladie de charcot (SLA) notamment. Mais il est également le premier à vous proposer son aide pour vous entraîner, vous motiver, vous récupérer vos dossards, vous porter vos affaires de rechanges pendant le marathon. Enfin presque. Natif du Veneto, au Nord de l’Italie, le marathon de Venise reste sa course préférée. Il l’a déjà couru 9 fois, souvent en tant que pacer pour la barre mythique des 3h. Bon, en plus de tout ça, Anthony est aussi triathlète confirmé avec, entre autre, un Ironman d’Autriche en 9h48’03 » et un Challenge Roth en 10h04′. Il est d’ailleurs le fondateur d’un club de triathlon qui pousse dans sa région, le SBR3athlon. Ouf !

Andréa Scaramuzza

Andréa Scaramuzza

Nous sommes tous des enfants de ce monde. Notre terrain de jeu : la planète Terre. Français, Italiens, Américains, indiens, peu importe. Des « digital nomads », des critiques free-lance, des journaliste français, ou pas. Andréa, 34 ans, est un des nôtres. Il est tout à la fois résident vénitien, organisateur de voyages, guide touristique qui parle 4 langues, coureur à pied et amateur de bonne chair. Pour lui, la gastronomie passe avant….tout. Et il déteste le sport. Bon, OK, sauf le ski, et la course à pied. Andréa a commencé à courir pour perdre du poids voyez-vous, et pouvoir continuer à manger et à boire. Logique. Véridique. C’est un être dévoué, courageux, drôle et toujours de bonne humeur. Cela se vérifie sur nos vidéos. C’est la bouffe ça. C’est la bouffe !! La course. Et la bouffe. Andréa n’est certainement pas aussi timbré que certains des autres des journalistes de notre équipe mais il a quand même fait 4 marathons, dont Venise, évidemment. À part cela, c’est notre spécialiste maison de Brooks et Salming mais c’est aussi un fan de Craft, entre autres marques.  

Pin It on Pinterest